eleonore77

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  • en réponse à : Ménopause a 33 ans #4597
    eleonore77eleonore77
    Participant

      Bonjour Zazoo
      J’ai eu moi aussi été ménopausée à 34 ans par un cancer du col.
      Avec de innombrables bouffées de chaleur
      J’avais l’impression d’être toujours en haut comme si j’avais sauté dans une piscine ! J’ai eu droit un traitement substitutif de la ménopause en revanche j’avais du mal à le supporter pour d’autres effets secondaires et j’ai arrêté au bout de trois ans.
      Mais bouffées de chaleur se sont estompées peu à peu
      Plein de courage

      en réponse à : Stérilité à cause du cancer #4569
      eleonore77eleonore77
      Participant

        Tant mieux Nora si nous avons pu vous aider !
        Abonnez-vous à la page Facebook d’Imagyn et suivez le site Internet car nous indiquerons la date des prochains cafés virtuels IMAGYN (avant de pouvoir Dès que possible les reprendre en vrai à Paris et en province)

        en réponse à : Stérilité à cause du cancer #4505
        eleonore77eleonore77
        Participant

          bonjour Nora
          Nous sommes plusieurs membres d’imagyn à avoir été touchées dans notre corps de femmes jeunes ce qui a engendré une stérilité.
          C’est quelque chose de très difficile à vivre en et qui vient mettre à mal ce qu’il y a de plus précieux en nous : donner la vie.
          Pour ma part j’ai eu la chance de pouvoir adopter un petit bébé avec mon mari.
          Je ne nie pas la difficulté de votre situation, mais vous avez pour vous la jeunesse.
          À notre époque, beaucoup de couples, même sans traverser l’épreuve du cancer, sont confrontés à la difficulté d’avoir des enfants et la stérilité.
          Cela devient une des problématiques de notre temps et c’est de moins en moins tabou.
          Si un jour vous démarriez une procédure d’agrément pour l’adoption, en couple, ou seule, le faite d’être jeune est vraiment un atout.
          Toute l’équipe des bénévoles de l’association et est derrière vous.
          Bien cordialement

          en réponse à : APRES LES TRAITEMENTS #3414
          eleonore77eleonore77
          Participant

            C’est un symptôme fréquent chez beaucoup de femmes ménopausées.
            Un traitement hormonal sous forme de crème vaginale ou d’ovule contenant un œstrogène comme la promestiène (Colpotrophine™ ou Colposeptine™) ou l’estriol (Trophigil™ ou Florgynal™) est souvent très efficace et peut vous aider.
            Des gels non hormonaux comme le Replens™, le Monasens TM ou le Mucogine TM peuvent être utiles ou des huiles cicatrisantes comme le VEA TM Olio ou la crème Cicalfate TM .
            Souvent, on vous proposera de l’associer à un antiseptique au début.
            Une rééducation périnéale peut être utile.
            L’utilisation d’un dilatateur ainsi que des lubrifiants vaginaux peuvent être utiles lors des premiers rapports sexuels pour minimiser les effets indésirables de la radiothérapie. Un dilatateur vaginal est souvent utilisé après une irradiation du pelvis, du col de l’utérus ou du vagin afin d’éviter qu’il ne s’atrophie avec accolement définitif de ses parois. Il s’agit d’un mandrin en plastique de taille variable selon les anatomies qu’il faut appliquer trois fois par semaine en moyenne.

            en réponse à : PENDANT LES TRAITEMENTS #3413
            eleonore77eleonore77
            Participant

              Tout dépendra de la cicatrisation et de votre envie.
              Mais il vaut mieux attendre la fin des traitements. La reprise de rapports sexuels peut être une source d’anxiété et c’est normal ! La chirurgie ne modifie pas votre capacité à ressentir du plaisir par exemple dans le cas d’une hystérectomie.
              Vous n’avez pas besoin de votre utérus pour avoir un orgasme ! Cependant, certaines femmes peuvent avoir un sentiment de perte qui peut rendre l’intimité difficile. Un groupe de soutien et l’aide du partenaire peuvent aider à surmonter ces problèmes.

              en réponse à : LYMPHOEDEME #3412
              eleonore77eleonore77
              Participant

                C’est malheureusement une séquelle assez fréquente dans le cas de curage ganglionnaire.
                Tout d’abord parlez-en à votre médecin ou chirurgien qui vous donnera les coordonnées d’un centre référent. Il existe des centres spécialisés de lymphologie, dans plusieurs grands villes à Paris, Montpellier, Nantes, Toulouse, etc.
                Le spécialiste (médecin vasculaire spécialisé en lymphologie) que vous verrez, vous proposera différentes solutions pour mieux prendre en charge votre œdème à la jambe et/ou petit bassin,
                avec des bandages réducteurs, le port d’une compression adaptée et spécifique au lymphœdème (bas et shorty de classe 2/3), des drainages lymphatiques et bien sûr la pratique d’une activité physique régulière.

                en réponse à : FATIGUE #3411
                eleonore77eleonore77
                Participant

                  Ressentir de la fatigue pendant et après un cancer est très fréquent. Pour faire face à la fatigue et rendre les tâches indispensables plus faciles, il faut parfois envisager de planifier autrement sa vie quotidienne (prioriser les tâches importantes) mais aussi de reprendre une activité physique.
                  Alterner activité physique et repos a souvent des effets bénéfiques sur la fatigue car l’activité physique permet à l’organisme de se recharger. Trop de repos ou un manque d’activité peuvent modifier la capacité d’oxygénation des tissus musculaires, provoquer une fonte des muscles et entraîner une fatigue supplémentaire.
                  Quand cela est possible, des exercices modérés, mais réguliers et quotidiens (une demi-heure par jour), comme la marche, la bicyclette, des exercices de gymnastique diminuent le stress et la fatigue. Ils stimulent également l’appétit. La plupart du temps, il n’existe pas de contre-indication majeure à pratiquer une activité physique.
                  Dans un premier temps, il n’est pas toujours possible ou envisageable de conserver ou de reprendre une activité physique. Certains patients sont si fatigués que tout effort est momentanément impossible.Vous ne devez pas vous sentir coupable de ne pas être tout de suite capable de fournir un effort. Ne rien faire et se reposer peut d’abord être une priorité. Mais l’activité physique a un effet positif sur le moral.
                  La pratique d’une activité physique doit être adaptée à vos capacités. Ce doit être avant tout une source de plaisir et de bien-être.
                  Pour plus de conseils, rapprochez-vous de votre médecin, de votre kinésithérapeute ou d’un éducateur sportif spécialisé “sport et cancer”.

                  en réponse à : SPORT ET CANCER #3410
                  eleonore77eleonore77
                  Participant

                    Après la chirurgie et surtout une laparectomie, ill ne faut pas faire d’effort conséquent (sport, natation, relations sexuelles, ports de charges lourdes…) pendant 4 semaines, voir d’avantage selon avis médical. Après avec l’accord de votre médecin et suivant votre état de forme, sans solliciter vos abdominaux, vous pourrez reprendre doucement la marche, le vélo ou encore la natation sur le dos.

                    en réponse à : ALIMENTATION ET CANCER #3409
                    eleonore77eleonore77
                    Participant

                      Pendant un traitement pour un cancer, l’important est de maintenir votre organisme dans un bon équilibre, avec une courbe de poids stable, en évitant au maximum de perdre trop de masse musculaire, et de prendre trop de masse grasse.
                      Au-delà de la maladie elle-même, ce sont les traitements qui, le plus souvent, peuvent être un obstacle au fonctionnement normal du système digestif.
                      Il faut donc trouver, dans la mesure du possible, les moyens de contourner ou de neutraliser cet effet secondaire des traitements. Durant la chimiothérapie, ne vous forcez pas à manger. Essayez de vous alimenter légèrement dans les heures qui précèdent la perfusion.
                      • Le petit déjeuner est généralement le repas qui passe le mieux. Entre vos cures, si vous le pouvez, efforcez-vous de prendre un petit déjeuner plus copieux en ajoutant un jus de fruit, un yaourt, des céréales, un laitage ou un fromage.
                      • Si les vomissements sont abondants, demandez à votre médecin des médicaments antivomitifs, de préférence sous forme de suppositoires. Veillez à vous réhydrater (boissons fraîches, bouillon salé, coca-cola, etc.).

                      en réponse à : TRAITEMENTS #3408
                      eleonore77eleonore77
                      Participant

                        La curiethérapie peut provoquer une ménopause précose. Si c’est le cas, vous ressentirez peut-être les symptômes suivants : bouffées de chaleur, sueurs nocturne, règles irrégulières ou absentes, troubles du sommeil dont l’incapacité de s’endormir, ou insomnie, sécheresse, démangeaisons, irritation ou pertes vaginales.
                        Mais ce n’est pas une fatalité et chaque femme réagit différemment.
                        Parlez-en avec votre médécin.

                        en réponse à : DEPISTAGE ET PREVENTION #3407
                        eleonore77eleonore77
                        Participant

                          Tout dépend de l’âge de votre fille : Il est recommandé de faire vacciner les jeunes filles dès 11 ans jusqu’à 14 ans car la vaccination est d’autant plus efficace que les jeunes filles n’ont pas encore été exposées au risque d’infection aux papillomavirus (via une relation sexuelle). Si votre fille a plus de 15 ans dans le cadre d’un rattrapage vaccinal, elle peut etre vaccinée jusquà 19 ans révolus, si elle n’a pas encore eu de relations sexuelles.

                          en réponse à : TRAITEMENTS #3406
                          eleonore77eleonore77
                          Participant

                            Elle peut selon les molécules, entraîner une chute des cheveux et des poils car ces médicaments affectent la croissance des cellules des follicules pileux. Ceci se traduit par un éclaircissement de la chevelure et, dans certains cas, une chute totale des cheveux.
                            Votre oncologue vous informera si les médicaments que vous allez recevoir sont susceptibles ou non de provoquer une chute de cheveux et quelle en sera l’évolution.

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