L’hérédité
Les formes sporadiques
Elles représentent la grande majorité des cas.
Les formes avec association familiale
Il s’agit de familles dans lesquelles on retrouve des cancers de l’endomètre, représentent environ 15 à plus de 30 % des cas.
Les formes avec prédisposition génétique majeure
Elles sont beaucoup plus rares et les spécialistes estiment l’incidence à moins de 5 % des cas. La transmission est soit monogénique soit autosomale dominante.
Le syndrome HNPCC ou syndrome de Lynch
Ce syndrome associe un cancer du côlon à un risque plus élevé de cancer de l’endomètre, de l’ovaire et des voies biliaires ou urinaires.
Le syndrome de Lynch est responsable de 6 % des cancers de l’endomètre. le cancer de l’endomètre peut être révélateur de la maladie.
Les facteurs de risque reconnus
La race
Le cancer de l’endomètre est plus commun chez les femmes noires américaines que chez les femmes blanches ou asiatiques. La raison de ce risque accru est inconnue.
L’âge
Le cancer de l’endomètre de l’utérus a tendance à se développer chez les femmes après la ménopause.
Chez femmes plus jeunes, le risque est beaucoup plus faible (5 % des cancers de l’endomètre).
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